Date limite : 29 mars 2024

La revue en ligne Panorama-cinéma est à la recherche d’un∙e apprenti∙e critique pour un stage rémunéré de formation, organisé conjointement avec le Comité des arts autochtones du Conseil des arts de Montréal.

Ce stage, adressé aux personnes issues des communautés autochtones (Premières Nations, Inuit, Métis) souhaitant poursuivre leur développement professionnel en tant que critique culturel, visera à former un∙e critique de cinéma rompu∙e à des pratiques d’écriture reconnues favorisant l’élaboration d’une réflexion sur la mise en scène cinématographique et les enjeux de son industrie, de sa production à sa diffusion.

La personne retenue se verra proposer un stage rémunéré de 12 semaines, incluant une formation au discours critique, aux mécanismes de la distribution des films et à l’analyse du marché. La formation comprendra aussi un accompagnement à la rédaction de critiques courtes et longues, ainsi que d’articles de formes diverses (entrevue, essai, etc.). Le stage et sa pratique se dérouleront en français, à travers le territoire montréalais de Tiohtià:ke ainsi qu’à nos bureaux situés au 3333 boul. Crémazie Est. À noter enfin qu’aucune expérience préalable n’est requise, sinon le désir d’écrire et de réfléchir sur le cinéma.

Pour proposer votre candidature, veuillez faire parvenir une lettre de présentation ainsi qu’un curriculum vitae à info@panorama-cinema.com au plus tard le 29 mars 2024.

MISSION

La mission de Panorama-cinéma est de réfléchir sur le cinéma par le biais d’articles de fond, de critiques, d’essais, d’éditoriaux, d’entrevues et d’une couverture festivalière en favorisant d’une part une meilleure appréciation du cinéma et d’autre part sa découvrabilité auprès des cinéphiles de la francophonie. Pour parvenir à susciter l’intérêt et l’engagement de son lectorat alors que la critique culturelle est chamboulée par la croissance des diverses plateformes numériques de partage et d’expression, la revue mise sur une ligne éditoriale soignée, lorgnant vers l’essai en ce qu’elle assume une subjectivité tempérée, aussi loin du blogue personnel qu’elle peut l’être de l’écriture strictement informative, voire journalistique.